
On le retrouve inconscient un matin d’octobre, cadavérique sac d’os allongé dans son cabinet de curiosités aux fenêtres brisées, les pages de plusieurs encyclopédies ouvertes et tournant dans le courant d’air.
lectures, écritures, avis, combats perdus d'avance et instantanés périmés, morts-nés et autres occlusions de conscience en attendant la suite.
Gone with the wind ( Autant en emporte le vent)
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