Le premier jet de mon nouveau projet de roman avance à son rythme... ni trop vite ni trop doucement. J'essaye de respecter la règle d'or pour produire quelque chose : écrire chaque jour. Néanmoins j'ai traversé une zone de turbulences dans la gestion de mon temps à la fin du mois de janvier et surtout en février, ce qui s'est traduit par treize jours à zéro ligne.
Huit semaines après avoir démarré ce premier jet, j'en arrive à la fin du second tiers de l'histoire.
Avec 328 pages écrites et un peu moins de 200 restantes, je vais bientôt me retrouver avec un manuscrit ventripotent et maladroit. Mais comme dirait l'autre, "C'est le jeu !" Car oui, c'est bien le but d'un premier jet, aller au bout de son idée, sans se retourner, en produisant de la façon la plus régulière possible. On se relira ensuite.
Huit semaines après avoir démarré ce premier jet, j'en arrive à la fin du second tiers de l'histoire.
Avec 328 pages écrites et un peu moins de 200 restantes, je vais bientôt me retrouver avec un manuscrit ventripotent et maladroit. Mais comme dirait l'autre, "C'est le jeu !" Car oui, c'est bien le but d'un premier jet, aller au bout de son idée, sans se retourner, en produisant de la façon la plus régulière possible. On se relira ensuite.
En regardant devant, j'espère terminer ce premier jet sur la deuxième quinzaine d'avril, ce qui me permettra de consacrer le début du mois de mai à la relecture et aux notes préparatoires puis de me lancer dans l'écriture du deuxième jet. Ah oui, et accessoirement, je n'ai toujours pas trouvé de titre à ce nouveau roman, pour l'heure toujours baptisé du nom de code "Parenthèses".
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