Il écrivait facilement mais avec mollesse, aspirait à de grands textes mais pondait des navets manquant de cuisson.
Il s’essaya aux cigarillos mais le goût infâme l’obligea à se rabattre sur des cigarettes qu’il s’escrimait à tenir entre l’annulaire et l’auriculaire et qu’il fumait du coin des lèvres.
Il mourut un matin en traversant la rue, désargenté et inconnu, la tête pleine de rêves et le corps indemne de tout cancer.
le frère de Régis des Nuls !
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