
Le printemps cogne à la porte depuis plusieurs jours, l’enfant est porté à la rêverie. Troublé par la fragilité d’une toile d’araignée piégée par la rosée du matin, il en oublie ses tables de multiplication. Et tous les coléoptères dans la prairie s’envolent de concert.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire