À 17h39, passant devant la voie A, ils se mirent à courir mais parvinrent à la voie C sans avoir trouvé la voie B. Questionnant le chef de gare désoeuvré, celui-ci haussa les épaules. Les aiguilles de l’horloge de la gare indiquaient 17h41 puis elles tremblèrent et il fut 17h43. Le train de 17h42 était parti sans eux.
lectures, écritures, avis, combats perdus d'avance et instantanés périmés, morts-nés et autres occlusions de conscience en attendant la suite.
jeudi 5 décembre 2024
Journapalm 1935
À 17h39, passant devant la voie A, ils se mirent à courir mais parvinrent à la voie C sans avoir trouvé la voie B. Questionnant le chef de gare désoeuvré, celui-ci haussa les épaules. Les aiguilles de l’horloge de la gare indiquaient 17h41 puis elles tremblèrent et il fut 17h43. Le train de 17h42 était parti sans eux.
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une histoire vraie qui m'est arrivée , de quai simple et de quai double et de passage sous terrain entre les quais , lorsque l'on est pressé et mal placé par rapport aux panneaux , on finit par avoir l'alphabet dans son dos , quand on tombe dans le panneau ! De toute façon le train de 18h05 arrive à destination avant celui de 17h42 , c'est le paradoxe habituel du temps perdu gagné des rames galères SNCF sauf pour le Poudlard Express invisible des Moldus , le Pôle express à Noël et le Transperceneige pour les survivants de la prochaine glaciation !
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