
Condamné à casser des cailloux trente ans durant, il devint le favori de l’épouse du directeur du goulag. Celle-ci aimait plus que tout le contraindre à se mettre à quatre pattes, nu, puis à imiter les cris du cochon que l’on égorge.
lectures, écritures, avis, combats perdus d'avance et instantanés périmés, morts-nés et autres occlusions de conscience en attendant la suite.
Tout est bon dans le cochon ...qu'ils disent !
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