Dans l’agitation et les clameurs autour de lui, le vieil homme reste silencieux, le regard absent. Les employés de l’hospice ne le dérangent pas, on dit qu’il voyage au long cours et qu’il revisite des territoires dont eux-mêmes n’ont aucune idée. Là, juste derrière la fenêtre d’un samedi matin de février.
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