
Tes doigts sur le clavier de la machine qui boit déjà ta sueur, gourmande tes doutes, enregistre tes obsessions.
Tu te demandes combien de temps encore tenir le coup quand tu sais que pendant que tu meurs à doses homéopathiques, les Grandes Jorasses et les Drus patientent au levant dans une solitude assourdissante.
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