Parfois il reste figé devant ses fenêtres qu’il ouvre même lorsque la rue est bruyante, juste pour se délecter de l’observation des lignes droites et des pointes à quatre-vingt-dix degrés de leurs côtés.
Dès qu’il le pourra il déménagera au dernier étage de la tour la plus haute de la ville. De là, le monde se réduira à un enchevêtrement de rectangles et de carrés.
My name is Mondrian !
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