
Le déclic m’a réveillé. J’ai à peine eu le temps d’ouvrir les yeux, de sentir l’odeur du gaz puis le lit s’est embrasé de hautes flammes remplies de fureur à 900 degrés. J’imagine que je suis mort assez vite, après ça.
lectures, écritures, avis, combats perdus d'avance et instantanés périmés, morts-nés et autres occlusions de conscience en attendant la suite.
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