
Ici, il n’y a que des vaches, des prairies et du silence. Sur un calendrier des postes, il coche les jours en rêvant de mers de toits, de files de voitures, de transports en commun et du brouhaha de la ville.
lectures, écritures, avis, combats perdus d'avance et instantanés périmés, morts-nés et autres occlusions de conscience en attendant la suite.
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