Alors il entre, s’assoit où on lui dit, range ses pieds, toutes ses jambes et ses mains sous la vaste blouse blanche, disparaît là-dessous, ne reste que la tête et les doigts immenses du barbier tenant l’instrument étincelant. Maintenant le fil du rasoir est prêt à trancher.
lectures, écritures, avis, combats perdus d'avance et instantanés périmés, morts-nés et autres occlusions de conscience en attendant la suite.
jeudi 5 novembre 2020
Journapalm 452
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
couic , dérapage !
RépondreSupprimer