
L’ambassade perdue au fin fond de la campagne normande était une cellule certes verdoyante mais non moins dorée dont Berthe rêvait de s’échapper. Aussi la visite d’un représentant en espadrilles et en anchois de Catalogne s'avéra une révélation. Dès le lendemain elle plia bagages pour rejoindre le représentant et Collioure où elle s’improvisa marchande d’espadrilles de grandes tailles à carreaux.
Berthe c'est "le pied" "le grand pied" c'est connu !
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