L’ambassade perdue au fin fond de la campagne normande était une cellule certes verdoyante mais non moins dorée dont Berthe rêvait de s’échapper. Aussi la visite d’un représentant en espadrilles et en anchois de Catalogne s'avéra une révélation. Dès le lendemain elle plia bagages pour rejoindre le représentant et Collioure où elle s’improvisa marchande d’espadrilles de grandes tailles à carreaux.
lectures, écritures, avis, combats perdus d'avance et instantanés périmés, morts-nés et autres occlusions de conscience en attendant la suite.
mardi 10 novembre 2020
Journapalm 457
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Berthe c'est "le pied" "le grand pied" c'est connu !
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