Toujours à le pousser pour qu’il rédige leur foutu papier en lui rappelant le délai qui arrive bientôt à expiration. Avec les mêmes questions dès qu’il les retrouve au petit déjeuner, à midi, le soir. Son quotidien devient un labyrinthe dont chaque allée est occupée par un de ces tyrans à tête en point d’interrogation.
Il n’en peut plus de cette agitation continue, aussi décide-t-il de partir pêcher. Son testament pourra attendre un jour de plus.
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