lundi 14 novembre 2022

Toussaint printanière : avis de naissance

Ce fut une Toussaint printanière. En grande partie du fait de cette météo ensoleillée, un peu pour la fin d’un projet d’écriture. Ce ne fut pas un long fleuve tranquille. Après deux faux départs, plusieurs versions, « La traversée volatile » aura mis un an à se matérialiser. Comme souvent, le roman achevé est bien différent de l’idée de départ ainsi que de l’intention initiale. C’est peut-être là que réside ce qui pousse à écrire : en se lançant dans un projet de roman, on ne sait jamais ce qu’il va en sortir. Comme pour les publications précédentes, deux versions sont disponibles : papier et Kindle.


Quatrième de couverture :
Alors qu’il approche de la cinquantaine, Alain Codec cherche à retrouver la fibre créatrice qui lui a permis il y a quelques années d’écrire et faire éditer deux romans aux tirages confidentiels. Mais depuis cinq ans, il passe plus de temps à faire le même cauchemar récurrent qu’à trouver l’inspiration. Un cauchemar qui le hante depuis son enfance et pour lequel il refuse obstinément d’aller consulter. Profitant de l’absence de son épouse et de ses enfants pour un long week-end de mai, il compte bien s’atteler aux fondations d’un nouveau roman. Mais sur la route de la création on emprunte parfois un étrange chemin qui peut nous faire remonter aux origines même de qui l’on est.

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