L'année 2016 aura été riche en découvertes. Je me serais occupé avec 67 lectures cette année, et alors que je pensais pouvoir affirmer sans l'ombre d'un doute ne pas lire beaucoup de livres d'auteurs francophones, une lecture plus attentive de ces chiffres m'a prouvé le contraire :
- 34 livres d'auteurs francophones
- 26 livres d'auteurs américains
- 7 livres d'auteurs d'autres horizons
Les auteurs les plus lus étant :
- Jim Harrison (5 livres)
- Jean Echenoz et Dany Laferrière (4 livres chacun)
- Dan Fante et David Vann (3 livres chacun)
Je me pose toujours la question sur la coexistence de deux êtres à l'intérieur de la même personne : celui qui lit et celui qui écrit. Les deux sont intimement liés, comme les deux facettes d'une personnalité complexe et multiple. Je reste convaincu que la somme des deux vaut plus que la simple addition arithmétique de deux unités. Lire sans écrire, ou écrire sans lire, c'est l'assurance de passer à côté de la complétude.
Maintenant que je dois écrire le deuxième jet de "Manx", je me demande malgré tout s'il ne convient pas de nuancer en éloignant un moment toute lecture de fiction, pour ne pas être influencé et pour laisser celui qui écrit libre de tout parasitage en provenance de celui qui lit. Au bénéfice de lectures d'ouvrages de non fiction qui abondent et qui, de plus, permettent de s'immerger dans de nouveaux univers.
Maintenant que je dois écrire le deuxième jet de "Manx", je me demande malgré tout s'il ne convient pas de nuancer en éloignant un moment toute lecture de fiction, pour ne pas être influencé et pour laisser celui qui écrit libre de tout parasitage en provenance de celui qui lit. Au bénéfice de lectures d'ouvrages de non fiction qui abondent et qui, de plus, permettent de s'immerger dans de nouveaux univers.
Et par exemple, commencer à se documenter pour les futures échéances d'écriture me semble un bon point d'attaque. Justement pour toutes ces raisons.
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