Je découvre les bouquins de Michel Houellebecq.
Il ne s'agit pas d'un processus critique ou d'une quelconque volonté de recherche stylistique. Il ne s'agit pas non plus de céder à contre temps à une quelconque mode. Je suis d'ailleurs plutôt versé dans la littérature américaine que dans la littérature française. Mais voilà, il y a la gueule de Houellebecq qui m'intrigue et moi j'aime bien lire des bouquins d'auteurs aux gueules qui sortent de l'ordinaire. Jim Harrison, Bukowski, Kerouac, Calaferte, Selby... Ils ont tous un truc, à leur façon.
Le marché de l'occasion qui constitue 80% de mes achats de littérature m'a récemment permis d'acquérir - et de lire bien sûr - plusieurs titres de Houellebecq depuis le mois de Février :
- La carte et le territoire : moyennement apprécié.
- Extension du domaine de la lutte : très sympathique bien qu'un peu facile.
- Les particules élémentaires : en cours de lecture, très agréable.
Je vais donc continuer à lire les bouquins de cet ancien informaticien qu'on appelle Houellebecq. En attendant quelques avis plus étayés lors de futures chroniques à venir, je ne résiste pas au plaisir d'afficher la gueule de Houellebecq.
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