Le lendemain, on enchaina Jean au fond d’un minuscule local de service, nu. On lui apporterait deux repas par jour. Ses collègues pourraient venir à tout moment déverser sur lui leur trop plein de frustrations et de haines. Matraque, tisonnier et couteaux leur seraient fournis de sept à dix-neuf heures.
lectures, écritures, avis, combats perdus d'avance et instantanés périmés, morts-nés et autres occlusions de conscience en attendant la suite.
vendredi 6 mars 2020
Journapalm 209
Le lendemain, on enchaina Jean au fond d’un minuscule local de service, nu. On lui apporterait deux repas par jour. Ses collègues pourraient venir à tout moment déverser sur lui leur trop plein de frustrations et de haines. Matraque, tisonnier et couteaux leur seraient fournis de sept à dix-neuf heures.
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en principe le placard est synonyme d'isolement et d'oubli de purgatoire , ici il ressemble à un stage en enfer en alternance ! Jusqu'à quand tiendra-t-il ?
RépondreSupprimerC'est vrai que Jean n'avait qu'à pas se tromper. Cela lui aurait évité tous ces sévices !
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