Lorsqu’il officie entre les stèles, il dissimule sous des chemises sombres ses bras tatoués de dessins chinois réalisés par un grand maître oriental que l’on dit centenaire.
Mais d’après la vieille qui refuse de mourir et qui vit au bout de la rue, les défunts aiment les histoires de fantômes asiatiques que leur murmure à l’oreille le croque-mort avant de refermer le tombeau.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire