Ils sont arrivés après la signature de l’armistice dont l’information n’avait pas été annoncée. Arborant des gilets pare-balles désuets et des ceintures de munitions obsolètes.
Dès qu’ils eurent posé un pied sur le champ de bataille, leurs corps furent déchiquetés par les mitrailleuses ennemies. Pendant ce temps à la commanderie, on s’offrait une seconde tournée d’Armagnac.
Temps et contretemps
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