Il y a eu un bruit énorme mais à présent le silence a repris le pouvoir. Dans la lumière diaphane de cette aube d’automne, on aperçoit des cerfs trottiner à l’orée de la forêt. Une brise légère soulève les feuilles des arbres et informe les animaux sauvages de l’état de la route. Ils ne savent pas combien de voitures sont enchevêtrées mais l’odeur du sang les prévient avant tout le monde.
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